jeudi 5 juin 2025

Mes recherches en philosophie

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UNIVERSIDAD DE __________________________________



FACULTÉ DE THÉOLOGIE ET DE SCIENCES DES RELIGIONS
SECTION DE SCIENCES DES RELIGIONS

Projet de certaine THESE de Doctorat

Faculté de Théologie et de sciences des religions de l’Université de ... pour l’obtention du grade de Docteur ès Théologie par Alexander KIRIYATSKIY


Directeur de thèse _________________________


Co-directeur de thèse__________________________________



Notre thèse s’appuiera sur la coïncidence totale des concepts opposés de la Renaissance étudiée par Cassirer. La thématique de cette thèse est illustrée par notre introduction.  L'expérience historique de Cassirer reflète nos problématiques au XXe siècle.  Notre recherche détermine ses particularités et ses limites. L'essence de notre travail se basera sur la brève biographie de notre dernier idéaliste allemand. Nous analyserons la méthodologie d'Ernst Cassirer. Nous soulignerons certaines racines de la philosophie particulière de Cassirer. Celle-ci détermine la base de la scolastique de la Renaissance et sa nouvelle expression renouvelée au XXe siècle.  La coïncidence des termes opposés a formulé le fondateur allemand par la philosophie italienne de la Renaissance.  Sa nouvelle expression unit les gentils et les chrétiens. Tous deux sont étudiés dans six livres de Cassirer. Notre thèse analysera le temps de l'Académie de Florence dans les volumes consacrés au néo-kantisme.  Son 'expression des sentiments est liée avec le Moyen Âge. L’introduction dans notre recherche expliquera l'opposition concrète entre l'homme médiéval et l'homme de la Renaissance. Nous accepterons les particularités symboliques d’Ernst Cassirer et de son dernier idéalisme. Sa PHILOSOPHIE se fondait sur la naissance du microcosme à l'intérieur du nouvel homme du XIV au XVI siècle.

Notre 1er CHAPITRE aura le titre «Nicolas de Cues. Celui-ci sera composé par quatre parties déterminées le but de notre recherche. La première parie de notre 1er CHAPITRE manifestera l'individu de Nicolas de Cues dans les livres d’Ernst Cassirer. La coïncidence des oppositions physiques et spirituelles détermine la nouvelle conception de la Renaissance. Nous dévoilerons de quelle façon ont apparu les racines historiques de la coïncidence des oppositions. Leur reconnaissances ont découvert l'impossibilité de déterminer la Perfection Infinie. Son idéal était très important au début du XXe siècle. La grande motivation et la gradation des sphères nous approche de Dieu. La nouvelle conception s’opposée à la scolastique. Par les yeux de Cassier, la deuxième partie de notre 1er chapitre unira le XXe siècle avec la coïncidence médiévale des concepts opposés de Platon et d'Aristote. Il y a la cosmologie médiévale de l'Univers fini déterminé maintenant par 13,7 milliards d’années. Cette cosmologie trouvera sa décision contemporaine dans notre thèse à travers les concepts opposés et par leur coïncidence. La 3e partie de notre premier chapitre aura le titre « La première tentation de savoir Dieu ». Ici, la limite de chaque dimension et son absence nous amènerons vers le fini et l'infini philosophique qui n'ont aucune proportion. Nous essayerons d’expliquer pour quelle raison Cassirer attire son attention sur la nouvelle coïncidence des concepts opposés de Platon et d'Aristote. Tous deux ont détruit la logique traditionnelle du Moyen Âge à travers la réalité créative, par les mythes médiévaux et par la langue symbolique opposée à l’antiquité. Nous répondrons à la question pourquoi Dieu intellectuel en dehors des déterminations humaines conduit Cassier à la puissance mystique de la vision intellectuelle. Nous illustreront l'intelligence et son union avec Dieu. La 4e partie de notre premier chapitre s’appellera « La relativité de la nouvelle conception». Ici, la stabilité s’opposera aux changements médiévaux. Nous présenterons l'opposition entre la raison éternelle et l'illusion proportionnelle. Deux types des frontières et leur stabilité uniront la Renaissance et l’époque de Cassirer. Les disparations théoriques des frontières mentionnées expliquent les racines de leurs propres quatre catégories. Les concepts opposés s'absolutisent afin d'avoir la coïncidence réelle. Ils acceptent la première conjecture de l'infini relatif à l’époque de Nicolas de Cues et défissent cette même conception au XXe siècle de Cassirer et maintenant au XXIe siècle. Les rapports entre les sphères empiriques et l'Être Absolu devront produire leur résumé de notre premier chapitre. Le 2e chapitre de notre thèse aura le titre «Certains Principes de Nicolas de Cues dans la pratique». Sa première partie s’appellera «Dieu et ce monde». Deux cosmes essaieront de fixer les erreurs d'Aristote. Ces derniers sont confirmés au XXe siècle de Cassirer. La première partie de notre 2e chapitre étudiera le fait que notre temps détermine l'égalité de tous les objets auprès de l'Infinité Divine. La 2e partie de ce même 2e chapitre s’intitulera «Le premier pas au cosmopolitisme universel». Celle-ci s’appuiera sur les appartenances divines et mondaines, sur la tentation d'unir toutes les croyances et sur la conception de Dieu à l'intérieur des limites acceptées par Cassirer. Son nouveau Nicolas de Cues, oublié pendant 500 ans, formulera notre concept d’«individu» dans le livre «Individu et cosmos». Ce livre devient la base de quatre catégories de Cassirer. L'homme médiéval et celui-ci de la Renaissance ont obtenu la vision de la nouvelle réalité et de la puissance limitée de ce monde. La 3e partie de notre 2e chapitre aura le titre « La théorie de la relativité de Nicolas de Cues et la nature», car ses idées ont développé la nouvelle conception philosophique sur la frontière entre le Moyen Âge et la Renaissance. La 4e partie du deuxième chapitre de notre thèse sera intitulée « La nature et la nouvelle puissance de l'esprit ». Sa nouvelle compréhension des ordres illuminera la source de l'esprit humain. La 5e partie de ce même deuxième chapitre manifestera l'homme du XXIe siècle opposé à l'individu de la Renaissance. Nous devrons fixer plusieurs traits médiévaux de l'homme contemporain. Ici, nous comparerons le Moyen Âge, l’époque de Cassirer et le début du XXIe siècle obscure afin de confronter leurs masses indifférentes opposées à l'individu. Le changement des valeurs finira la 4e partie du 2e chapitre. La 5e partie de ce même 2e chapitre de notre thèse sera intitulée « La source de l'évaluation ». Ici, nous confronterons deux états de l'Être. La conception philosophique de la Renaissance voit, dans l'esprit humain, la source d'évaluation. Cette dernière concerne le multiforme de la nature. La même appréciation peut refléter partiellement le Monde Absolu dans l'état déployé (explicatio) de l'Univers. L'être des formes absolues présente l'état pelotonné (complicatio) matérialisé. La perfection enrichit l'état déployé (explicatio), dans lequel l'homme tente d'imiter l'Univers à travers ses valeurs. Le cosmos dévoile simultanément ces dernières dans sa totalité. Cette dernière expose les erreurs de cette conception. L'erreur de la Renaissance et le retour au passé. Seul l’homme pouvait évaluer la perfection de Dieu et le multiforme du monde entier. Notre travail expose que Dieu est le créateur de tout l'Univers. L'Être Absolu ne se limite pas au Globe Terrestre de la façon dont l'affirme Nicolas de Cues. C'est la raison pour laquelle, l'humanité ne pourrait être la meilleure créature de Dieu, si Dieu était absolu, n'était pas l'égrégore temporaire (vampire astral) et ne se limitait jamais à notre planète. On considère maintenant que l'Univers n'est ni éternel ni infini. La connaissance démontre que l'existence de l'Univers se limite à 13 milliards années. Ce fait nous dirige vers l'homme médiéval sans espoir et sans droit. De nouveau, notre vie actuelle démontre que le monde ait une fin. Au XXIe siècle, la science soutient la même conjecture, dans laquelle il y a un fait que la droite est limitée à ses frontières après l'explosion totale. Elle a élargi l'Univers afin de grandir toujours à l'intérieur des propres frontières spatiales en faisant ces dernières plus grandes qu’aux époques passées. Nous identifierons l'homme habituel du XXI siècle au sujet médiéval, car ces deux ne sont pas les individus et dépendent du cas et des événements externes. L'homme contemporain devient la partie des masses sans visage et n'aurait aucun droit à l'individualité, s'il n'était pas soutenu à travers la classe privilégié. L'homme fantôme devient très relatif. Même l'humanité, la galaxie et l'Univers seraient nuls et égaux, si Dieu et ceux-ci étaient comparés. Au Moyen Âge et au XXIe siècle, l'homme croit qu'on peut disparaître immédiatement dans notre galaxie et apparaître dans l'autre afin de ne pas traverser les distances cosmiques. De cette même façon, nous finirons notre 2e chapitre à travers la coïncidence contemporaine de la Renaissance et du Moyen Âge.

Notre 4ème CHAPITRE s’intitulera «Nicolas de Cues et l'Italie par Cassirer». En dehors des limites temporaires de Nicolas de Cues, Cassier sera illustré par ses propres études des influences directes et indirectes de Cassirer. Nous étudierons les philosophes du XVe siècle et de 150 d'ans suivants en Italie afin de souligner le fait que Cassirer était le premier philosophe qui démontre l’influence totale de Nicolas de Cues sur cette même époque. Ici, le concept de "devenir reconnu" et la nationalité sera comparée avec plusieurs listes des noms qui ne devaient jamais être reconnus au passé, au XXe, et au XXIe siècle. L'évidence des empreintes reflétera la guerre infinie entre des commentateurs et des inventeurs originaux. Sous le masque de l'héritage classique d'humanité, nos études de Cassirer démontreront la relation réelle des imitateurs à la science classique et la nouvelle sagesse sans consécration. Les partisans indirects de la nouvelle conception renforcent nos racines historiques de l'union entre la nature et l'esprit humain. Ces études de la problématique (A) dévoileront que la logique découvre les nouveaux concepts de la réalité créative, car la nouvelle langue illustre le nouveau mythe et sa vérité naturelle. Leur base n'est que la conscience médiévale. (B) Notre recherche de la problématique (B) présentera l'intérêt à la nature qui fait modifier les valeurs du christianisme à travers le mysticisme. Le sentiment mystique s'unit avec la totalité de l'Être. Avec la Renaissance, les frontières disparaissent entre toutes les distinctions opposées. Leur coïncidence était impossible à l'époque du temps obscur du VIe au Xe siècle. –(C) Notre analyse de la problématique (C) reviendra avec Cassirer vers l'histoire de la philosophie, par laquelle Thode a décrit le nouveau trait dans les bénéficions de François d'Assise. Notre thèse compare le même feu spirituel de François d'Assise et la grande demande dans le Canon pour non décédés (kanón 105 anapafsímos is kímasin) de Kassia poétesse byzantine. Elle prie l'amour à Dieu, à toute l'humanité. Elle découvre la beauté de toute la nature. Elle prie et Dieu excuse toutes les créatures qui vivent dans l'amour sous la musique des trombes à la fin apocalyptique. L'expiation de la nature a été illustrée par Kassia au début du IXe siècle. (CAB) La circularité des problématiques reliées attire l'attention sur nouvel concept "aimer Dieu" de François d'Assise. Le philosophe médiéval, qui n’a écrit que deux mots et rien plus, illustre oralement la source transcendante de l'Être dans son objet renforcé à travers la réalité effective. Cette dernière tente de trouver le premier chemin vers la logique, alors qu'elle attribue au mythe biblique le trait de celui de la nature. L'expression classique ne se limite pas plus aux relations morales parmi les hommes. La victoire de la science précise étude de la problématique (A) réinterprète nos quatre catégories et les coïncide avec le concept de symbole. Ce dernier est l'expression ou la langue en grec antique. Leur puissance devient l'efficacité. Leur explication renforce la logique. Sa transcendance dessine le monde dans l'abstraction. Ce dessin abstrait de l'Univers commencera à refléter notre réalité créative, car l'origine des symboles est le mythe qui a décrit le cosmos. Notre étude de la problématique (B): les relations entre Dieu et l'homme médiéval conduisent vers leur changement à la Renaissance. Chaque point de l'être présente le rapport avec tous les autres éléments de l'Univers, alors que chaque point du cosmos reflète son essence dans le Monde Divin. La théologie officielle n'a pas refusé la théorie de la Docte Ignorance; que tout le visible reflète l'essence du tout qui n'est pas vu. La vérité réelle n'est jamais obtenue. Seule son allégorie oblige à l'accepter. La matière ne correspond pas à ses critères. L'itinéraire à l'inconnu doit s'appuyer sur les premiers symboles concrets. Ces derniers deviendront les sources de notre nouvelle conception philosophique. Ils ne doivent pas faire douter de leur validité. Cette innovation dépend de l'exigence des évaluations, car elles déterminent intellectuellement les symboles. Chaque objet a le trait divin dans sa relativité. Cette dernière fait contempler Dieu, car tous les points cosmiques imitent la puissance divine et leur allégorie partielle de la Divinité. Le monde doit être étudié comme le signe divin. Il a besoin d'une interprétation particulière. Le monde a le concept de "signe" et exige l'examen de la nouvelle métaphysique et de la science de la nature. –(C) Notre étude de la problématique (C) approuve que Cassirer a développé la physique du réalisme naïf de Nicolas de Cues. Ce dernier a transformé sa nouvelle conception de la Renaissance en source de sa propre philosophie. De nouveau, Cassirer a interprété l'origine de cette contemplation intellectuelle. Il a transformé, et désigné, cette vision en nos "formes symboliques" de son hermétisme néo-kantien. (CAB) La circularité des problématiques reliées soutient l'affirmation de Cassirer qu'au XVe siècle seul Nicolas de Cues obtient sa vérification spéculative dans ses traités à travers nos catégories. Nicolas de Cues se débarrasse de la logique scolastique d'Aristote. Sa nouvelle conception philosophique devient le premier exemple historique, alors que ses mathématiques n'ont ni but ni façon de la connaissance de la nature. L’innovation décide des tâches théologiques et laisse connaitre Dieu à travers la nature. Leurs évidences prédisent le futur. Nous illustrerons plus profondément le fait que "livre divin" de la nature et les dogmes bibliques ont renforcé la coïncidence des concepts opposés. Nous démontrerons l'évolution de la conscience des oppositions influeront toujours sur le retour à la tradition sous la peur de l’innovation. Nous confronterons l'absence commode des concourants opposés et chaque nouvelle vision du monde. La circularité des problématiques reliées reconduit dans les traités de Nicolas de Cues vers les catégories hermétiques de Cassirer. Elle dévoile que ces dernières donnent à l'humanité la nouvelle âme qui reconnait de nouveau Dieu du Moyen Âge. Cassirer s'appuie uniquement sur ses quatre catégories. L'histoire constate par les instruments de nos catégories que la Renaissance ne rejette pas les rapports au Moyen Âge. Leur nouvel esprit justifie la nature de la réalité effective et évite son efficacité. Leurs connaissances se limitent à l'expérience médiévale et font se soumettre à sa logique dogmatique. Leur puissance devient individuelle. En outre, celle-ci n'enrichit que les langues classiques (grecque et latine). L'amour de Platon, la théorie des idées platoniques et le jugement aristotélique de l'âme influent sur les intelligences de l'époque. La réalité effective ne devient l'efficace, expose Cassirer comme aucun autre chercheur. Il découvre les nouveaux instruments des catégories antiques. La 2e partie de notre 4e chapitre aura le titre « L'Académie platonique de Florence ». Nous manifesterons la balance instable entre la science et les dogmes religieux qui amènent vers la victoire de la croyance à travers l'Académie platonique de Florence. Nous soulignerons que Cassirer était le premier philosophe qui a déterminé l’influence indirecte de Nicolas de Cues sur la confiance mystique opposée à nature. Le sujet-individu soutient la conception de la création des livres de Moïse à travers l’expérience médiévale avec son expression, sa logique, sa réalité et son mythe. En outre, Pic de la Mirandole construit le grand système du Nouveau Temps par son opposition à l’innovation. Les désirs, les traits et les possibilités de l'âme devront définir notre problématique (A) qui expose que l'art cesse d'être étranger à la perfection et conduit au nouveau mythe et à la réalité efficace, car le deuxième créateur (individu) conçoit la nouvelle logique par la nouvelle expression (langue). L’art devient l’instrument de l'homme à travers l'âme, le nouvel esprit artistique, la connaissance de la nature et sa grande puissance. Ficin et la beauté de l'âme démontrent par Cassirer que la Renaissance a créé le nouvel mythe et n’a pas voulu l'accepter, car elle désirait garder l'idéalisme des expressions antiques. L'homme de la Renaissance s'est approprié la réalité effective. En outre, elle avait simultanément peur de sa transformation en la réalité créative de Cassier, car cette dernière commençait à diriger le destin. Le cosmos individuel a possédé la logique de la nature. Il est immédiatement revenu vers l'expérience dogmatique du passé. La beauté laisse croire au mythe. Une nouvelle essence soumet la réalité effective à la volonté humaine. La beauté sait illustrer la logique et transformer les patois en langues nationales par leur nouvelle expression. Ernst Cassirer introduit l’innovation d'évaluer la Renaissance. Il démontre la nouvelle relation entre l'homme et l'Univers sans hiérarchie. En outre, seule cette relation détermine l'influence profonde de l'Académie platonique de Florence sur les grands peintres. Notre 4e chapitre la problématique nous fait revenir vers 4 catégories de Cassirer, dans les quelles notre étude (A) approuve que l'expiation artistique renouvelle chaque forme. Cette dernière fait coïncider le mythe, la réalité la logique et la langue à travers leurs instruments: l'âme, l'esprit, la connaissance et la puissance. Ainsi, la forme en conçoit un nouveau monde sensible et se transforme en "reformation" réelle. –(B) Notre étude de la problématique (B) dévoile que le phénomène de la vie spirituelle change. L'idée s'approprie le corps. Il y a l'image intelligible à l'intérieur du peintre. Elle ne se produit pas au Moyen Âge. A la Renaissance, cette image descend à travers les formes vues des arts. Les études deviennent vaines, alors que l’expérience ne crée pas leur théorie et ne s’approuve pas à travers un nouvel art. – (C) Notre 68ème étude de la problématique (C): Léonard de Vinci croyait que les connaisseurs ne devraient pas se venter des connaissances traditionnelles sans réalisation artistique. Ernst Cassirer nous conduit à la coïncidence de concepts opposés entre l'imagination et l'intelligence. Elles sont deux différentes expressions de l'âme créatrice. La coïncidence inévitable approuve l’absence du rapport entre l'imagination et l'intelligence. Elle ne correspond qu'à la confrontation entre le fini et l'infini de Nicolas de Cues. De même, l'homme et Dieu n'ont aucune ressemblance. Au contraire, l'esprit humain ne trouve que les liaisons symboliques entre l'homme et Dieu proportionnés à l'imagination et à la science. (CAB) La circularité des problématiques reliées établit l'art qui produit les fruits de l'imagination uniquement dans la troisième nature à travers la forme. Cette dernière unit nos catégories philosophiques. La vérité réelle n'est que la proportion. Seul l'homme produit les concepts et les compare sur la base de règles de la réalité créative, de la logique, du mythe et de la langue. Dieu crée la réalité des choses. En outre, l'homme conçoit la successivité des idées. Ainsi, notre thèse analyse la puissance de Dieu, sa vision créative et l'homme en possédant le talent assimilateur d'utiliser la nature.


Méthodologie


Introduction


La recherche que nous présenterons déterminera l'origine des quatre catégories (logique, réalité créative, mythe et langue) d'Ernst Cassirer, afin d’aboutir à l'explication de sa philosophie, isolée des autres catégories philosophiques. Nous étudierons étape par étape le livre Individu et cosmos de Cassirer et nous révélerons la raison, pour laquelle au XXe siècle, le dernier idéaliste allemand Cassirer consacre l’intégralité de ses six livres à la Renaissance. La majorité des extraits de notre corpus sera tirée sur la base de ces ouvrages. L’Individu et Cosmos devient l’objet principal de notre recherche, car il répond aux questions de notre problématique, liée aux catégories de Cassirer. Afin d'unir leurs concepts, nous les inactiverons dans le prolongement des idées de notre objet qui ne lui appartiennent pas. Nous prolongerons la problématique de leurs sources et trouverons immédiatement leurs rapports à l'origine de la philosophie hermétique de Cassirer. Notre thèse analysera la recherche philosophique d'Ernst Cassirer Individu et cosmos et cherche, dans ce livre, ses particularités. Notre travail trouve les nouvelles marques qui unissent, systématisent et individualisent la recherche d'Ernst Cassirer. Le dernier idéaliste modernise son interprétation de Nicolas de Cues. Notre thèse développera ses idées et supposera que la circularité est uniquement la droite indéterminée sans but. Celle-ci infinie doit se trouver dans le temps et dans l'espace. Elle n'unit ni passé, ni présent, ni futur. Son objet mué se trouve sur la première place dans le passé, sur la deuxième dans le présent et sur la troisième dans le futur. La droite ou la circularité infinie n'embrasse jamais d'une part ces trois points restés à l’intérieur des trois temps séparés. D'autre part, tous les temps ne se rencontrent jamais ensemble. La circularité ne peut qu'être seulement éternelle, alors que le temps passe sans but. De même, dans notre espace, elle n'embrasse jamais tous ses segments de la façon dont le fait la coïncidence du "Maximum" et du "Minimum", c'est-à-dire que la droite infinie n'est pas Dieu et n'unit jamais simultanément tous les points dans l'infinité et tous les espaces à l'intérieur d'un seul point. Ce travail suppose que la conscience humaine se développe à travers les coïncidences des concepts opposés et construit la pyramide des individus.


Motivation et but


La motivation à l'origine du corpus de notre thèse déterminera le but de notre recherche. Le corpus de notre thèse dévoilera les six volumes d'Ernst Cassirer consacrés à la Renaissance. Tout notre corpus englobera la même idée et analyse successivement l’Individu et cosmos livre essentiel des six traités liées à la particularité de Cassirer. La Renaissance formula sa source méthodologique. Cette dernière évite particulièrement, selon Kuhn, toutes les autres catégories philosophiques. Ernst Cassirer se sert uniquement des mêmes catégories limitées. Notre recherche justifiera l'ordre hermétique d'Ernst Cassirer, en démontrant leur origine du Moyen Âge et de la Renaissance qui si limitent aux mêmes quatre catégories de Cassirer. Notre travail exposera que Dieu est le créateur de tout l'Univers. L'Être Absolu ne se limite pas au Globe Terrestre de la façon dont l'affirme Nicolas de Cues. C'est la raison pour laquelle, l'humanité ne pourrait être la meilleure créature de Dieu, si Dieu était absolu, n'était pas l'égrégore temporaire (vampire astral) et ne se limitait jamais à notre planète. On considère maintenant que l'Univers n'est ni éternel ni infini. La connaissance démontre que l'existence de l'Univers se limite à 13 milliards années. Ce fait nous dirige vers l'homme médiéval sans espoir et sans droit. De nouveau, notre vie actuelle démontre que le monde ait une fin. Au XXIe siècle, la science soutient la même conjecture, dans laquelle il y a un fait que la droite est limitée à ses frontières après l'explosion totale. Elle a élargi l'Univers afin de grandir toujours à l'intérieur des propres frontières spatiales en faisant ces dernières plus grandes qu’aux époques passées. Nous ferons l’analyse contemporaine de l'Individu et cosmos et découvrirons ses particularités implicites. Son "livre de la nature" s'oppose à la confiance biblique. La nature interprète autrement le concept de "mot" et remplace ce dernier au concept de "verbe" en expliquant les erreurs dans la biblique. La vibration de l’aire ne pouvait pas devancer l’Univers. En outre, la notion de "verbe" comprend le concept d’action qui a conçu tout. Au contraire, Dieu a conçu tous les futurs de la façon dont l’a fait tous les passés et tous les présents en évitant des actions primitifs avec les espaces verbaux. La confiance biblique est présentée à travers le mot, c'est-à-dire par l'unique façon des communications humaines. En outre, le mot limite la puissance de notre cerveau qui fait de nombreux efforts, alors que son abstraction analyse et concrétise la vibration de l'air à travers plusieurs mots. Ces derniers sont opposés au concept de "télépathie" apparu en Grèce Antique. Le verbe pourrait être accepté de la création divine seulement dans le cas, où Dieu Absolu ne remplaçait pas le vampire énergique (égrégore). En outre, ce diable se trouve dans le temps et n’embrasse pas simultanément le futur, le présent et passer ensemble. Il s’endort au septième jour ou période, alors qu’il est fatigué après sa création fausse de l’Univers. Le présent du XVe siècle n’est pas notre présent comme son futur pendant XVIIIe siècle est uniquement notre passé. C’est la raison pour la quelle, il y a plusieurs présents, de nombreux passés et beaucoup de futurs qui peuvent correspondre e ne pas correspondre à notre réalité. Dieu est simultanément dans tous les temps et partout et présente le modèle idéal de tous les Univers, de toutes les matières et de toutes les idées. Dieu devance tout et ne peut jamais être fatigué et demandé Adam et Eva: «Où vous êtes?» afin de savoir que le premier homme mentira ou ne mentira pas. Dieu sait tout et ne peut pas se douter, car il ne fait aucune erreur. Si Dieu s’était endormi, l’annihilation noire aurait uni chaotiquement toutes les différentes parties du cosmos et aurait immédiatement détruit toutes les dimensions de tous les Univers, car il n’y aurait pas le contrôle permanent de la Perfection Divine. Aucune réflexion matérielle n’existe sans son idéal divin. Dieu est Absolu. Son Être Idéal a créé simultanément toutes les réalités passés et futurs ensembles comme celles réalisées, non produites et supposées. Le concept d’"avant tout il n'y avait que le verbe" a annulé son sens de la façon dont le détruit l'objet de l'interprétation abstraite. De même, notre thèse démontrera que le but de Cassirer est la confirmation de la validité de son hermétisme. A la Renaissance, ce dernier se limite uniquement aux quatre catégories.

Cet hermétisme convient de souligner que Cassirer n'attire pas l'attention sur l'idée permanente de son hermétisme obligatoire. Chaque paragraphe de notre travail tentera d’expliquer la raison, pour laquelle Cassirer analyse l'évolution de la pensée à la Renaissance. Nous affirmerons qu'il consacra six livres à cette époque, car ce temps donna naissance à une philosophie limitée à ses quatre catégories: logique, réalité créative, langue et mythe. Leurs objets et leurs sujets-individus font certaine allusion à cet hermétisme, la production de la nouvelle conception de la Renaissance. Cette conception n'avait aucune chance d'apparaître d'une autre façon et de prolonger autrement son existence qui se développe du XVe au XVIIe siècle. Leurs formes linguistiques de la Renaissance commencent à unir trois catégories (logique, réalité et mythe) à travers la coïncidence des oppositions absolues de Nicolas de Cues4. Elles tiennent simultanément la nécessité de sa méthodologie hors de leurs discours. En outre, notre thèse exposera dans chaque paragraphe de chaque chapitre, que les buts de tous les philosophes de l'Individu et cosmos sont l'expression (langue), l'intelligence humaine (logique), la vraie nature (réalité créative) et Dieu (but de tous et essence de tous les mythes).

L'Individu et cosmos démontre l’Être Divin par tous les ordres matériaux et par toutes les qualités infinies. En outre, ce traité oppose totalement Dieu infini à notre logique limitée, à travers nos possibilités finies. De même, par la langue, Nicolas de Cues unit l'Univers (réalité créative) et la logique humaine sans aucune proportion, entre les deux. Le cardinal transforme la réalité effective du Moyen Âge en efficacité de la Renaissance, alors que la réalité créative des individus commence à créer de la même façon dont le fait Dieu, à travers les objets, et produit les sujets.


L'expérience historique. – Sources de nos problématiques


Notre étude des quatre chapitres de notre objet illustrera précisément quatre catégories d'Ernst Cassirer et expose leur isolation liée immédiatement à la Renaissance. Nous démontrerons que du XIVe au XVIIe siècle, la motivation cosmopolitique conçoit trois problématiques générales de notre époque.  De même, la nouvelle forme linguistique fait coïncider les oppositions d'Aristote des commentaires médiévaux avec Celui-ci réel en renforçant ces deux opposés à Platon11. Cette même nouvelle conception de la Renaissance unit relativement les gentils et les chrétiens. Nous ferons accepter les racines médiévales des mêmes quatre catégories qui étaient renouvelées pendant la Renaissance. Ces derniers sont distincts au Moyen Âge et à la Renaissance et n'ont que leurs titres égaux. Nous étudierons son origine médiévale, alors que l'homme du Moyen Âge ne peut éviter la dépendance permanente et évaluer les dogmes. L'âme de chacun était toujours séparée de Dieu. Elle n'était pas encore l'instrument de l'Être Divin. La réalité ne connaissait que le temps obscur, refusait l'esprit humain et n'avait aucune expérience dont elle aurait pu s'approprier l'efficacité. Si l'homme avait cette dernière, comme Colin Muset, il ne saurait la diriger. La religiosité ignorait la logique et ne se servait que des connaissances bibliques. Le latin populaire et le grec byzantin n'avaient aucune puissance parmi les peuples. Au Moyen Âge, excepté ces deux langues, aucune langue n'existait officiellement. Les événements externes qui obligent l'homme nécessaire (choisi parmi les masses) à être l'instrument reconnu afin de vaincre. Les féodaux contemporains reconnaissent avec le plaisir que nul n'ignore que les masses médiévales et celles du XXe siècle n'ont aucune opinion. Les féodaux contemporains n'ont pas de doutes concernant le fait que cette population stupide croit aux dogmes scolastiques qui popularisent la classe reconnue. Les dogmes affirment que n'importe. Notre thèse soulignera qu’à la Renaissance, l'homme devient indépendant. Il est à l'intérieur de son être et ne traverse jamais les frontières de la nature spécifique afin de présenter l'essence divine dans les limites humaines. Toutes nos aspirations conduisent à la confirmation que la Renaissance ne pouvait naître à travers d'autres catégories que celles choisies à travers Cassirer. Nicolas de Cues devient le révolutionnaire pacifique sans innovations. Toute sa vie et toute son âme deviennent la coïncidence animée des concepts opposés. Il débute la nouvelle époque à travers sa nouvelle relation à ses quatre catégories. Nicolas de Cues unit Dieu (mythe) à la nature créatrice (réalité) en dévoilant qu'il n'y a aucune proportion entre l'Être Parfait de Dieu (mythe) et l'imperfection naturelle (réalité créative). Notre travail montre que Ficin, Pic de la Mirandole, Pomponazzi, Léonard de Vinci, Giordano Bruno10 contribuent à renforcer les mêmes catégories en les modifiant, car ils étaient implicitement les disciples de Nicolas de Cues. Notre recherche démontre que Cassirer justifie l'hermétisme de ses catégories à travers les découvertes logiques de Nicolas de Cues. Notre thèse prolonge la recherche de Cassirer et élargit, parfois, les racines médiévales de son Individu et cosmos à travers nos trois problématiques (catégories, objets et sujets-individus reconduits aux mêmes catégories). Pour la même raison, au Moyen Âge, la langue, la logique, le mythe et la réalité n'avaient pas encore les essences créatives qui étaient apparues à la Renaissance. Nous étudions les traits communs et les différences entre 1) la Renaissance du XVe siècle, 2) l'époque de Charlemagne au VIIIe siècle et 3) les approbations médiévales de Dénis l'Aréopagite au VIe siècle. Ces trois étaient examinés partiellement par Cassirer. Notre thèse prolonge les matières byzantines au VIe siècle et la Renaissance de Charlemagne qui n'étaient examinées par Cassirer, car nous précisons l'origine de ses quatre catégories. Notre travail ne pourra éviter leurs oppositions historiques à la Renaissance. Nous découvrirons les sources de la nouvelle conception de la Renaissance, opposées aux mêmes titres médiévaux. Notre travail analyse la raison, pour laquelle la coïncidence des concepts opposés d'Aréopagite tuait la logique (droit de réfléchir), la réalité (alors seule l’effectivité sans créations), le mythe (Dieu accepté) et la langue (grec et latin classique). Au XVe siècle, leur nouvelle conception de la Renaissance unit le Macrocosme de la réalité au Microcosme de la logique. L’innovation détermine l'origine des deux autres catégories philosophiques d'Ernst Cassirer. De même, notre travail cherche les tendances médiévales, car ces dernières ont conduit le Moyen Âge à la Renaissance par Boèce, par Guillaume IX duc Aquitain, par Saint Thomas, par Dante, etc.… Démonstrations objectives - La circularité des problématiques reliées (CAB) conduira le sujet-individu grâce à nos catégories vers une création subjective des objets de la même manière dont le fait le deuxième créateur. Elle démontrera que la philosophie pratique de Cassirer ne s'arrête jamais, car sa réalité créative ne contient pas ses résultats. Le dernier idéaliste retourne toujours aux mêmes problématiques. Notre but définira l'origine de sa philosophie particulière. Cette dernière formule la circularité obligatoire de notre démonstration objective qui est le résumé de toutes les réponses à nos trois problématiques.


La recherche de l'actuation – Méthode, particularités et limites


Nous n'obtiendrons jamais la réponse qui correspond à nos problématiques. Ces dernières obligent toujours les sujets-individus à revenir à leurs débuts, c'est-à-dire à repasser des catégories aux objets et de ces derniers aux racines d'eux mêmes. L’époque de chacune de nos études est la Renaissance, ses tâches de nos problématiques et leurs particularités approuvées à travers leurs circularités. Ces dernières ont conçu l'origine de la philosophie de Cassirer. La circularité obligatoire des problématiques oppose la Renaissance à l'absence médiévale des sujets-individus parmi les masses humaines. Au Moyen Âge, l’homme n’avait pas son propre visage et dépendait totalement des objets naturels. A la Renaissance, les sujets-individus ont commencé à créer leurs propres objets de la même manière dont l’approuve le dieu humain, écrit Cassirer. Seuls les stades de l'insuffisance obligent le nouvel homme à s'élever. Il s’oppose à celui médiéval et reconnaît la réalité véritable à travers son efficacité créative. Lorsque le nouvel homme s'arrête, il perd immédiatement la même efficacité et sa réalité devient effective, c’est-à-dire médiévale. L'actuation confirme que le fruit du travail humain ne perd aucune de ses approbations. Notre réalité cesse de créer, car son effectivité finie n'était pas et ne sera jamais créative comme son activité au présent. Le résultat de chacune de nos études (A, B, C, CAB) doit être fini. Il ne peut pas être toujours imparfait et en création. C'est la raison pour laquelle, une seule fois et non plus, notre méthodologie introduit la circularité de l'approbation objective de nos études à la fin de chaque définition des trois problématiques de notre thèse. 


L'essence de notre travail


Notre travail unira successivement les quatre chapitres de notre objet étudié Individu et cosmos créé par Ernst Cassirer, notre sujet-individu essentiel. Nous présentons de nombreuses études à trois problématiques avec leur circularité objective. Chacun de leurs numéros explique la raison, pour laquelle le traité Individu et cosmos unit Ernst Cassirer et la Renaissance. Les mêmes études font coïncider la philosophie particulaire d'Ernst Cassier avec l'origine de nos catégories philosophiques. Leur rapport est l'essence de notre thèse. Il explique que Nicolas de Cues et sa première philosophie de la connaissance ont conçu la origine de la philosophie hermétique d'Ernst Cassirer.


CORPUS
 de notre thèse


I) Le Problème de la connaissance dans la philosophie et la science des temps modernes24 I/ De Nicolas de Cues à Bayle – Œuvres XIX/ (1906).(I) Notre étude de la problématique (A) est la pensée qui ne s'appuie que sur la langue et sur Dieu. Tous deux, la réalité créative et la logique s'uniront dans les concepts de "forme" et leur union occupera le centre idéologique. (I) Notre étude de la problématique (B) est l'objet de la même œuvre qui est la plus importante de toutes celles consacrées à la Renaissance. Le Problème de la connaissance dans la philosophie et la science des temps modernes était la thèse de Cassirer soutenue à Berlin. Ce traité attire l'attention sur les fondateurs de la cosmologie de Kant qui sont devenues les racines des connaissances précises de Bayles. En 1927, le centre idéologique doit se débarrasser de son développement futur, car Le Problème de la connaissance dans la philosophie et la science des temps modernes est l'empreinte des professeurs de Cassirer, qu'enfin, la dernière fresque de ce triptyque soit entièrement consacrée à Descartes et au cartésianisme. Le dernier chapitre sur Bayle met un terme à ce mouvement et nous place à l'orée de la contemporanéité ouverte par le XVIIIe siècle, qui fait l'objet du volume II. Paru en 1906, ce volume a été remanié pour la seconde édition de 1910-1911 25. Ce traité dévoile une particularité traditionnelle du néo-kantisme. Il ne confirme dans cette sphère que la connaissance parfaite. (I) Notre étude de la problématique (C) unit trois sujets : Massimo Ferrari, le critique italien du Problème de la connaissance dans la philosophie et la science des temps modernes, son auteur Ernst Cassirer et leur traducteur en français René Fréreux. Massimo Ferrari présente la Préface de ce traité de Cassirer traduit en italien et en français et expose uneanalyse théorique s'appuyant sur un matériau historique pour définir les étapes fondamentales qui ont marqué l'émancipation de la pensée moderne de toute forme de substantialisme, vers la conquête progressive du niveau transcendantal pur de la raison26 Cassirer idéalisait cette époque dès son premier traité philosophique. Mais il cherchait sa propre sphère dans l'enseignement de la philosophie. Le dernier idéaliste ne voulait pas suivre la trace d'un autre. C'est la raison pour laquelle, Ernst Cassirer a souligné dans son traité suivant Forme du concept dans la pensée mythique qu'il pouvait prolonger l'histoire de la philosophie de la connaissance, car celle-ci appartenait à son professeur Hermann Cohen. Son traducteur français, René Fréreux affirme que ce volume I s'efforce tout d'abord de dégager les éléments proprement modernes du renouveau du problème de la connaissance chez Nicolas de Cues et en suit les déploiements tout au long de la Renaissance, dans l'humanisme – chez Bovelles, Ficin, Pomponazzi ou encore Pic de la Mirandole – puis dans le scepticisme – de Montaigne notamment.Passant ensuite à la genèse du concept de nature, Cassirer nous offre des développements devenus classiques non seulement sur Paracelse, Telesio, Campanella ou encore Patrizzi, mais aussi sur Bruno, Copernic, Vinci, Kepler et Galilée. 27 (CAB) La circularité des problématiques reliées nous amène les sujets-individus, à travers nos catégories, depuis XVe jusqu’au XVIIe siècle, car la langue, la logique, la réalité créative et le mythe des quatre premiers philosophes devient la source des créations des quatre suivants. Le XVII siècle s'appuyait sur leurs approbations et leurs erreurs qui conduisent à Descartes, à Leibnitz, à Kant, etc.

II) En 1916, Ernst Cassirer compose sa deuxième œuvre qui décrit partiellement la Renaissance. Elle s'intitule Liberté et forme. 28 (II-A) Les quatre concepts mentionnés et leur union deviennent les uniques critères philosophiques à déterminer la particularité d'Ernst Cassirer. (II-B) Ce travail démontre que la liberté du chercheur peut se limiter à ses formes. Cassirer ne voit que celles de la culture et de la croyance en déployant sa nouvelle philosophie. (II-C) Le traducteur français de ce traité, Jean Carro, écrit qu' à partir de la Renaissance et de la Réforme protestante, d'une problématique culturelle allemande irréductible, en dépit de la circulation incessante des idées, aux aspirations fondamentales des autres peuples européens, Ernst Cassirer ne se propose nullement dans ce livre de démontrer la supériorité spéculative de la culture germanique, mais cherche seulement à rendre compte de la cohérence interne d'une quête spirituelle enracinée dans une certaine conception de l'individualisme religieux29 (CAB) La Renaissance ne présente pas à travers nos catégories, dans ce livre, le rôle d'époque essentielle. 


III) Forme du concept dans la pensée mythique (1922) 30((III) Notre étude de la problématique (A) présente la forme, dans laquelle la langue et le mythe de Cassirer s'appuient, à travers le même traité, sur la logique. Cette dernière explique la réalité créative et détermine dans la philosophie tous les changements réels en rejetant toutes les empreintes. (III) Notre étude de la problématique (B) décrit cet objet de notre Corpus lié directement à nos catégories. La Renaissance contribue à se débarrasser des explications. Ce traité comprend des fantaisies mythologiques et astrologiques. Elle dévoile l'approbation essentielle de la Renaissance, et la forme du concept conduit Galilée à la même démonstration efficace. Son début détermine l'origine antique de la logique. Il oppose le règne des sentiments à celui des pensées. L’objectivité remplace l'absence de l'efficacité. De même, cette œuvre n'attire pas notre attention sur la Renaissance, et ne voit, dans celle-ci, qu'une période historique. Cassirer souligne, par la forme linguistique et par son rapport mythologique à Dieu, que la logique contemporaine s'appuie sur les mathématiques et conduit à la Renaissance. En outre, le développement de la pensé s'éloigne du centre de la recherche. Le but ne cesse pas d’être stipulé, alors qu’il est éloigné à la périphérie. Cassirer est inséparable de la même logique et de son efficacité précise. Il écrit sur la deuxième page du même traité: Nihil certi habemus in nostra scientia, nisi nostra mathematica (Nous n'avons nul certain dans notre science sauf que notre mathématique) – proclame Nicolas de Cues31. Cassirer affirme que Nicolas de Cues s'oppose aux problèmes scolastiques et conçoit son nouvel idéal de "précision des connaissances". Il démontre que la précision conçoit notre réalité créative. Cassirer ne se limite pas au même idéal. Il s'éloigne particulièrement de la philosophie du Nouveau Temps de Descartes et de Leibnitz à Kant. Hermann Cohen a déterminé concrètement la précision de Kant32 et son rôle dans le progrès contemporain des mathématiques et de la physique. La dernière partie de la Forme du concept dans la pensée mythique est consacrée à l'astrologie des peuples préhistoriques, d'où le traité décrit la Renaissance. Le "principe casuel" de l'astrologie préhistorique déterminait l'influence céleste sur la philosophie et rejette particulièrement la logique. Ce fragment détermine le rôle de Marsilio Ficin qui défend le passé médiéval. Il contredisait la croyance astrologique et abordait la victoire de la dépendance humaine. Cette problématique sera prolongée dans les deux œuvres suivantes Individu et cosmos et Jean Pic de la Mirandole à la recherche de l'histoire des idées de la Renaissance. (III) Notre étude de la problématique (C) se limite aux sujets-individus et à leur relation au même traité. Cassirer pense que chaque connaissance empirique et ses tâches infinies n'ont aucune efficacité sans sujet. Ici, Cassirer affirme que sa particularité philosophique ne sépare pas le concept de "culture" de la notion de "nature". Helmut Kuhn affirme qu'au début de son travail Philosophie de la culture d'Ernst Cassier1 que la culture de Cassirer n'existe ni pour elle-même ni pour sa conservation, car le centre de nos valeurs se cache à sa périphérie.  Afin d'obtenir la neutralité indépendante, la "forme" unit ces quatre catégories philosophiques et élimine l'individu de Cassirer avec la raison de sa philosophie, écrit Helmut Kuhn1, car ces deux manquent dans ses analyses. (CAB) La circularité des problématiques reliées présente les individus et leurs approbations à travers nos catégories. Cassirer unit ces derniers à l'astronomie de Tiho Brahe, de Galilée et de Kepler. Le but de ce traité n'est que la réalité créative. Il revient particulièrement à la même révolution philosophique dans le troisième chapitre de l'Individu et cosmos et s'appuie sur les formes de ses quatre catégories (langue /expression/, mythe /Être divin/, réalité créative /déploiement matérielle/ et logique / refus des idées sans efficacité /)  De nombreux traités de Cassirer ne voient, dans la révolution philosophique, que la réalité créative. La logique rejette des démonstrations sans efficacité.  Sa culture témoigne de l'Être par l'éloquence.


(IV) Individu et cosmos 2 (1927). (IV) Notre étude de la problématique (A) révèle que la logique et la réalité créative rejettent par la langue l'absence d'efficacité et contribuent à faire connaître Dieu, source de tous les mythes. Afin de démontrer la même possession des catégories, l'expression (première catégorie de Cassier) commence à déterminer la nouvelle époque, car la forme devient plus importante que le contenu. Elle unit nos quatre catégories. (IV) Notre étude de la problématique (B) décrit en bref le traité énoncé par notre thèse qui comprend l'Introduction – le Chapitre I : Nicolas de Cues – le Chapitre II : Nicolas de Cues et l’Italie – le Chapitre III : Liberté et nécessité dans la philosophie de la Renaissance – et le Chapitre IV : Problématique argument-objet dans la philosophie de la Renaissance. Ce travail de Cassirer présente la problématique essentielle de notre recherche. Elle doit examiner particulièrement chaque concept. (IV) Notre étude de la problématique (C) donne trois types des sujets-individus analysés dans la recherche et leur dépendance de l’auteur de leur objet. Ici, l’écrivain devient le deuxième créateur de l’objet créé par sa main, c’est-à-dire que l’auteur se transforme en notre sujet-individu créant ses propres objets de la particularité comme un Dieu Humain. Le premier type des sujets présente l’individu Quillet. Il est le traducteur de cette œuvre écrite en allemand. Ce premier type se soumet totalement à l'auteur de sa traduction. Le deuxième est notre philosophe Ernst Cassirer qui dépend de Nicolas de Cues et de ses disciples, c'est-à-dire du troisième type des sujets-individus. Cassirer est le créateur intermédiaire entre le traducteur vers notre langue et le troisième type des individus de la Renaissance. Cassirer est notre base intermédiaire qui présente, par Nicolas de Cues, le troisième type des sujets-individus dans le rôle du fondateur de la nouvelle conception philosophique de la Renaissance. En outre, Cassirer a mis un terme à l’aveuglement qui déniait toute activité philosophique à la vaste période de Renaissance des lettres et des arts qui s’ouvre au XVe siècle avec Nicolas de Cues, premier théoricien du monde infini et s’achève en 1600 avec le supplice de son disciple Giordano Bruno,33 écrit le traducteur dépendant d'Ernst Cassirer dans le rôle du sujet-individu qui crée. (CAB) La circularité des problématiques reliées démontre que Cassirer (notre protagoniste) dévoile nos quatre catégories (expression, Dieu, réalité créative et logique) dans la transition de ce traité. L’auteur introduit plus précisément les autres sujets-individus du troisième type dans son Individu et cosmos à travers leur pratique et par leur particularité. Ce traité devient l'objet de notre thèse. Notre sujet suprême devient la forme de notre objet et ce dernier unit nos catégories. Leur coïncidence approuve la même philosophie particulière de Cassirer. Cette dernière était à déceler et à restituer dans sa vraie nature et son ampleur au prix d’un déchiffrage du riche tissu d’allégories poétiques et plastiques où se détache le ferme dessin du Microcosme, l’Homme de l’Humanisme, prenant possession du monde, ancêtre du Cosmotheoros des derniers textes de Kant. L’humanisme est questionnement universel, foisonnement littéraire, éclat de l’érudition, élargissement de l’horizon.., 33 écrit Pierre Quillet, son traducteur en français. Ce premier type des sujets-individus est la partie de nos problématiques et de leur circularité. Cette dernière nous conduit depuis les sujets-individus jusqu’aux quatre catégories et de celles-ci à l’objet créé par le sujet créatif. Mais il ne le serait point sans la puissante armature intellectuelle de sa philosophie, affirme Pierre QuilletSes limites philosophiques laissent évaluer le rôle de la Renaissance, car Cassirer tente de définir son propre rôle à travers la coïncidence de nos quatre catégories. Au-delà des riches et pittoresques figures de ces temps d’éclosion apparaît l’unité systématique de la pensée qui a produit le monde moderne, ajoute son traducteur en français.  Notre thèse essaie de faire coïncider la même pensée créative du traducteur avec la Renaissance et avec le nouveau Moyen Âge du XXIe siècle. Cette affirmation de Pierre Quillet explique la nécessité obligatoire de la neutralité enfermée de Cassirer et cherche cependant, par notre analyse, les particularités implicites de notre dernier idéaliste.


V) Renaissance platonique en Angleterre à l'école de Cambridge34 (1932). (V) Notre étude de la problématique (A) illustre que la réalité créative du cosmos astronomique dirige notre esprit. De même, la logique s'approprie nos connaissances. La langue introduit sa puissance dans sa nouvelle narration du mythe scientifique en Angleterre. L'intelligence britannique commence à voir la forme divine de la nature, car cette dernière unit nos quatre catégories dans son livre divin. (V) Notre étude de la problématique (B) détermine son objet parmi ceux de notre corpus. Cet objet est le même traité Renaissance platonique en Angleterre à l'école de Cambridge. Cette œuvre analyse l'influence de l'Académie platonique sur la Renaissance anglaise. Elle prolonge l'idée du 2e chapitre de l'Individu et cosmos(V) Notre étude de la problématique (C) dévoile qu'Ernst Cassirer attire notre attention sur la Vérité du système raisonnable de l'Univers de Ralph Cudworth34a. Cassirer tente de faire coïncider Ralph Cudworth avec Nicolas de Cues. De même, il dévoile l'Enchiridion métaphysique d'Henry More34b. Ce philosophe interprète le platonisme mystique. Cassirer trouve les racines de la même interprétation dans l'Académie Platonique à Florence.(CAB) La circularité des problématiques reliées oblige Cudworth à transformer le "livre divin de la nature" en "nature plastique", car son sujet crée, à travers quatre catégories philosophiques, et justifie la théorie de la réalité créative, sa nouvelle logique, son expression et son mythe qui idéalise la nature. Cassirer affirme que sa catégorie philosophique de la langue s'appuie sur le système cabalistique et ressemble à la théosophie de Jean Baptiste van Helmont34c. Cette idée de More reconduit Cassirer au rôle de Giovanni Pic de la Mirandole dans l'histoire. En outre, notre recherche démontre l'erreur de la croyance en l'homme. Au XXIe siècle l'homme devient l'animal symbolique et retourne vers le Moyen Âge sans forme, c'est-à-dire sans rapports entre les catégories philosophiques d'Ernst Cassirer. Kant connaît la découverte, à la fois énorme et superficielle, en latin de Cudworth (The tue intelectual system of the universe, 1678) et le petit traité pénétrant de Henry More (Enrichidion metaphysicum, 1671). Cet ouvrage de More propose une manière originale de dépasser la métaphysique: l’être en tant qu’être n’est pas l’objet d’une connaissance métaphysique, mais d’une connaissance logique, en ce sens que les universaux ne sont pas les choses, mais des logoi, des êtres universellement formels (cap. 2, paragraphe 3). L’héritage du nominalisme anglais, dans le platonisme de Cambridge comme chez Barkeley, remplace la métaphysique traditionnelle de la substance par une déréalisation, très stimulante pour l’esprit, des objets du monde, une critique digne d’attention de l’ontologie naturelle. More s’attache à montrer que toutes les catégories métaphysiques, substance, accident, existence, perfection, etc. ne sont pas d’êtres métaphysiques, mais des être logiques. 35


VI) Jean Pic de la Mirandole à la recherche de l'histoire des idées de la Renaissance (1938-1941)36. VI) Notre étude de la problématique (A) confirme que l'exigence universitaire lui laisse affirmer que la langue de l'art et de la philosophie conduisent à l'origine du nouveaumythe. L'art et sa philosophie conçoivent, par la langue, la modalité de leur réalité créative. La logique de l'historique permet d'ignorer d'autres catégories. VI) Notre étude de la problématique (B) présente cette œuvre d'Ernst Cassirer qui occupe, à travers son importance, la troisième place parmi ses traités consacrés à la Renaissance. Le traité Jean Pic de la Mirandole à la recherche de l'histoire des idées de la Renaissance comprend une introduction, deux parties et trois chapitres: L'unité et le multiforme, Dieu et le mondeIdée du microcosme et "la Dignité" de l'Homme et Philosophie naturelle de Pic et sa polémique contre l'astrologie. Cette œuvre souligne la réanimation des racines médiévales et contredit son idéal. Notre objet dévoile les œuvres de Pic de la Mirandole, lesquelles ne correspondent pas à la nouvelle époque, car elles se limitent aux normes scolastiques. En outre, cet objet avait la relation universelle à toutes les religions. La même relation ne se limite pas à l'Antiquité. Sa connaissance embrasse toutes les expériences religieuses du Christianisme, du Judaïsme et de l'Islam. L'objet démontre que Pic de la Mirandole conçoit une nouvelle philosophie pérenne. Ses découvertes ne traversent que les frontières qui pouvaient, au Moyen Âge, être passées en respectant les exigences traditionnelles.


VI) Notre étude de la problématique (C) se concentre sur Cassirer et sur ses opinions. Il regrette que son crédo philosophique n’ait pas pu se refléter dans son traité Individu et cosmos, car cette recherche ne soit que neutre et objective. D'une part, il idéalise Nicolas de Cues. D'autre part, il ne veut pas introduire dans la matière étudiée ses points de vues, car il voit son erreur qui est de soumettre le multiforme philosophique aux idéaux. Il déplore cependant qu'il n'examine pas en détail la philosophie traditionnelle de Pic de la Mirandole. Son crédo esthétique évite des innovations révolutionnaires. Pic de la Mirandole contredit l'individualisme de Nicolas de Cues.  Cassirer cherche dans son opposition positive la vérité de l'expérience des siècles passés. Sa particularité individuelle ne lui permet pas de séparer les deux opposés Nicolas de Cues et Pic de la Mirandole.


CAB) La circularité des problématiques reliées conduit le sujet-individu aux rapports entre nos catégories, car la langue et la religion expriment toujours l'art et le mythe. La même proportion fait coïncider symboliquement la logique et l'intelligence avec la réalité créative et la raison. Aucun autre philosophe ne définit toute l'époque à travers nos quatre concepts. Cassirer a convaincu le monde philosophique d'accepter à travers le même traité que l'analyse neutre peut se limiter à ses quatre bases. Le livre Jean Pic de la Mirandole à la recherche de l'histoire des idées de la Renaissance dévoile la particularité implicite de son auteur. Le multiforme dépend de l'Unité, car cette dernière contient la diversité en soi. L'idée essentielle de ce chapitre déploie cette affirmation de Jean Pic de la Mirandole.  Ce traité affirme que Pic de la Mirandole devient le premier philosophe latin qui commence à utiliser le concept de religiosité universelle. Comme toujours, le multiforme unit quatre catégories, car celles-ci déterminent la neutralité de Cassier. De même, il reconnait l’erreur de l'Individu et cosmos. Il n'a pas dévoilé l'importance historique de Pic de la Mirandole. Cassirer regrette dans ce traité que son travail antérieur ait été critiqué par ses collègues. En 1938, le même livre prolonge l'idée essentielle de l'Individu et cosmos, où son protagoniste n'est autre que Pic de la Mirandole qui lutte contre l'astrologie et contre d’autres faiblesses humaines. Ici, le philosophe renforce sa troisième catégorie. Le deuxième chapitre amène à Nicolas de Cues. Le cardinal ne cesse d'être, dans ce traité, le fondateur de la nouvelle philosophie. Il précise l'idée de coincidencia oppositiorum (coïncidence des concepts opposés) 37 et la fait coïncider avec la connaissance limitée et avec son absence réelle du cosmos, c’est-à-dire avec l’information finie et avec l’ignorance de l’Univers. Le cercle infini se transforme en droite. De nouveau, Cassirer détermine la particularité de Pic de la Mirandole, par laquelle ces deux théories sont acceptées et reconnues à la Renaissance. Le troisième chapitre analyse le vitalisme de Giovanni Pic de la Mirandole. Ce philosophe tend à combattre contre l'astrologie. Cassirer dévoile la vie dans le rôle de l'unique but humain. Il présente la vie à travers la philosophie anthropocentrique. Cette dernière de Pic débute par sa conception naturelle, et Cassirer la conduit vers l'âme universelle de Schelling.  Sans Pic de la Mirandole, affirme Cassirer, Kepler ne se serait pas approché de sa nouvelle conception du monde. Cassier souligne qu'il défendait toujours la scolastique du style parisien. Sa connaissance était fantastique et obligeait à la conserver. Elle a laissé produire la propre innovation de Pic de la Mirandole à l'intérieur de ses limites. Cassirer dévoile l'itinéraire de la même modification de la Renaissance à Winckelmann en Allemagne et à Descartes et à Leibniz en France en revenant vers son traitéProblème de la connaissance dans la philosophie et la science des temps modernes. Cassirer écrit, à la fin du livre examiné, en parlant par les mots de Leibnitz, que son esprit est chargé du passé et gros de l'avenir.  VII) Place de Ficin dans l'histoire intellectuelle (1942) 38 VII) Notre étude de la problématique (A) approuve la réalité médiévale. Cette dernière rejette la logique, car cette réalité obscure n'accepte que les lois archaïques du passé. Lalangue et le mythe (Dieu) de Cassirer deviennent plus importants que la logique et la réalité créative. VII) Notre étude de la problématique (B) présente l'objet qui analyse les raisons, pour les quelles on affirmait que la philosophie de toute cette période n'était que la confusion éclectique des nombreuses sources. Notre objet a trois chapitres sans titres. Ce traité dévoile les nouvelles réponses de Pic de la Mirandole aux questions traditionnelles. L'objectivité historique se transforme en un centre de la défense de Ficin. La tolérance philosophique et l'explication historique donnent, dans ce travail, la clé de la philosophie de Marsilio Ficin. VII) Notre étude de la problématique (C) explique les limites du sujet-individu essentiel, car elle attire le protagoniste aux sujets de ses études. Cassirer croit que Ficin ne sent pas l'absence des rapports entre Platon et Augustin, Aristote et Plotin etc.. 39 Afin de comprendre Ficin, Cassirer a exposé, dans ce traité, la nécessité des études de cette époque. Il détermine l'influence de Marsilio Ficin sur l'histoire de la philosophie. Ici, le dernier idéaliste décrit les partisans de cette idée. Il présente Burckhardt40 avec Kristeller41 et les oppose aux médiévalistes en soulignant la flatus vocis (voix vaine) de toute la Renaissance. Un nouvel sujet intellectuel de Ficin motive la recherche de Kristaller. La particularité de ce traité sépare la pensée et le sentiment de l'expression. Cassirer s'appuie sur la "conscience intérieure" recherchée par Kristaller. Parfois, dans son travail, Cassirer retourne vers Nicolas de Cues4 et dévoile l'origine des concepts de Ficin. De nombreux philosophes rejettent ses approbations philosophiques et refusent leur innovation, écrit Cassirer au début du même travail. Le sujet-individu se soumet aux exigences médiévales, car il n'a utilisé que la pratique quotidienne de Nicolas de Cues.


CAB) La circularité des problématiques reliées oblige Ficin à s'éloigner de l'efficacité à la périphérie. Il ne se sert que des catégories du Moyen Âge et crée ses œuvres dans les frontières de l'exigence médiévale. Afin de contredire son crédo du novateur, Nicolas de Cues Cassirer a crée son œuvre précédente Jean Pic de la Mirandole à la recherche de l'histoire des idées de la Renaissance. Cette idée est prolongée et élargie dans ce traité consacré à Ficin. Cassirer affirme qu'il est bien plus que le fondateur de l'Académie de Florence. Ficin ne se limite pas à ses commentaires et à ses traductions de Platon et de Plotin. Ici, Cassirer démontre qu'il a introduit aux études de tous deux sa philosophie hermétique. Le dernier idéaliste souligne par ses quatre catégories que Ficin estime trop la tradition médiévale. La philosophie de la culture ne doit pas représenter l'essence philosophique de Cassirer. C'est la raison pour laquelle, l'analyse neutre et précise devient le crédo esthétique de Cassirer et motive ces six traités liés à la Renaissance. Cette analyse dévoile Cassirer neutre et n'attribue jamais à l'objet étudié la qualité du sujet-individu. La thèse démontre que si, comme dans les rapports entre Nicolas de Cues et Ficin, Cassirer introduisait, dans la matière stipulée, son crédo, il regretterait par la même occasion et consacrerait son prochain travail à cette erreur. Cette particularité oblige à ne pas chercher, dans l’Individu et cosmos, la philosophie de Cassirer. Mais notre thèse énonce son individualisme implicite. Nous le cherchons dans ce traité mentionné par les quatre catégories. On conçoit ces dernières coïncidences avec leur forme, dans laquelle Ernst Cassirer est totalement lié à la matière analysée et approuve la circularité de nos problématiques partagée.

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1)      Base

Ce qui motive ma thèse présentée à mon admission à l’Université s’intègre dans la structure d’un examen des détails. Il illustre les concepts du livre «Individu et cosmos» d’Ernst Cassirer. Notre thèse dévoile que la Renaissance a formulé la racine de sa philosophie. Le contexte historique a été analysé sur la base de la gnoséologie pendant nos études au cours de la maîtrise à l’Université des Études de Trente. La thèse systématise quatre chapitres du livre de Cassirer «Nicolas de Cues», «Nicolas de Cues et l’Italie», «Liberté et nécessité dans la philosophie de la Renaissance», «La problématique sujet-objet dans la philosophie de la Renaissance». Ces chapitres présentent l’origine de quatre nouvelles catégories philosophiques. La thèse expose ainsi que la forme de la pensée implique la logique, la langue, le mythe et la réalité créative. Elles s’appuient sur les traités «Docte ignorance», «Des conjectures» et «De la pensée» de Nicolas de Cues. De nouveau, Ernst Cassirer a accepté ces catégories et a dévoilé la conséquence de leur nouvelle conception. Notre motivation s’appuie sur l'héritage médiéval qui nous trouve la nouvelle expression à la Renaissance. Le Moyen Âge et la nouvelle époque se reflètent dans les quatre catégories de Cassirer particulièrement.

Plusieurs arguments exposent la coïncidence des concepts opposés et leur réalisation dans toutes les sphères du mythe, de la logique, de la langue et de la réalité. Cette dernière cesse d'être effective et s'approprie la possibilité humaine de créer. Notre thèse analyse les formations des conceptions de l’individu, car leur motivation s'interprète par le fondement philosophique de Cassirer. La même vie donne les instruments à ces catégories. Ils sont l'âme, l'esprit, la connaissance et la puissance. Ils contribuent à préciser le développement de la philosophie médiévale.

2) Thématique.

Il y a la coincidence des oppositions absolues dans toutes les sphères à l'époque de la Renaissance. Catégories (mythe, langue, réalité créative et logique) unies à travers la forme de l'Individu. Individu dans l’histoire formelle. Frontières des époques. Relations entre des individus et reconnaissances des nouveaux instruments (âme, esprit, connaissances et puissance).

3) Cathégories

Les conceptions du temps et de l’individu représentent une coïncidence des opposés et confirment notre réalité. Cette dernière s'approprie l'efficacité de créer. L'homme commence à avoir son propre "moi". Le développement forme les enseignements des philosophes de la Renaissance et reconnait l’espace et le temps. Leur moteur conçoit la racine de la philosophie scientifique de Cassirer. Il y a la relation entre l’indéfinité (modèle) empirique et infinité (images). Elle conduit vers l’exclusion réciproque et vers leur union et leur inséparabilité. Cette loi philosophique fait coïncider les problèmes de la croyance, de la langue, de la réalité effective et de la logique, alors que la nouvelle forme expressive les unit. Les problématiques des catégories, des objets, des sujets et de leur circularité consistent dans la compréhension bipolaire de l’unité des contradictions. Notre objectif est la vérification du rapport entre les suppositions différentes de Nicolas de Cues et leur évolution parmi les disciples. Les suppositions effectives se comparent. C’est la raison pour laquelle, Cassirer coïncide la «transcendance» et la «participation». Elles impliquent l’altérité éternelle entre l’idée et l’apparence, entre l’astrologie et la dignité humaine, etc.. Ces faits produisent l'altérité entre la science et la croyance. En outre, tous deux dépendent du temps. Nombreuses théories gnoséologiques dévoilent la nouvelle conception humaine. Elles motivent d'aller vers le kantisme et de définir le néo-kantisme de Cassirer. Leurs nouvelles impressions étaient inexistantes au Moyen Âge. Ce travail les systématise et analyse, par les approbations historiques, la validité des catégories philosophiques de Cassirer. "L'individu et cosmos" explique que la concrétisation des recherches théologiques contredit les dogmes classiques du Moyen Âge. Cette opposition interdit leur reconnaissance. La hiérarchie universelle d’Aristote et la communion de la Providence et du Destin de Boèce ne pouvaient pas satisfaire la Renaissance. La nouvelle réalité obligeait les sujets (comme Nicolas de Cues) à douter de la construction géocentrique du monde par les objets, car ces circularités dogmatiques cessaient d'être acceptées. Cassirer donne sa nouvelle explication de ce processus. Son traité "Individu et cosmos" motive l'écriture de notre thèse. Les mêmes tendances philosophiques ont séparé la science humaine et l'explication théologique. Giannozzo Manetti a défendu la théologie opposée à l’innovation. Par quelle humanisation, s’oriente la philosophie de la Renaissance et proportionne la racine philosophique de Cassirer. Notre thèse étudie la raison, pour laquelle, la volonté humaine ne se limite pas à une fin singulière. Le savoir humain ne peut jamais remplir sa promesse. Il défend le «Discours de la dignité de l’homme» de Pic de la Mirandole. Il cesse d’idéaliser les objets celestes et les génies de l’antiquité. La motivation de notre recherche expose la nouvelle vérité élevée sur l’héritage médiéval. Sa nouvelle efficacité attache la logique à la réalité. Elle tente de s'approcher de Dieu (mythe) par l'âme. Le nouvel homme conçoit la logique par la connaissance, connaît la réalité par l'esprit et enrichit la langue par sa puissance. Cette dernière deviendra, 500 ans plus tard, le langage philosophique de Cassirer et le reconduira à la même motivation d’expliquer l’origine des mêmes cathégories afin de justifier la philosophie de Cassirer. Cette vérité est approuvée à travers la concrétisation de tout et à travers la connaissance concrète de la nature. Au Moyen Âge, toutes les notions théologiques et naturelles n’étaient que scolastiques et abstraites. Les concepts opposés conçoivent nos catégories.

Comme l’exemple de notre analyse du Moyen Âge nous dévolons la resolution de la motivation N10 sous le titre La nouvelle conception s’opposant à la scolastique. Notre étude de la problématique de cathégories (A) se penche sur la connaissance de Dieu (mythe) par la bible sans logique et sur l’expression de cette dite connaissance par la langue immeuble (expressions classiques pour tous), alors que l'homme dépendait totalement de la réalité, ne possédait pas son effectivité et affirmait que l'efficacité humaine ne vient que du diable. Les trois catégories médiévales rejetaient la reconnaissance du présent créatif. Le début du Moyen Âge rejette la catégorie de logique, car le mythe biblique la remplace. En ce sens, le mythe et l'art (fruit de l'âme), le langage et la science (puissance humaine), construisent et imposent l'être: ce ne sont pas de simples copies d'une réalité déjà donnée, mais les lignes directrices générales du mouvement de l'esprit, du procès idéel par lequel le réel se constitue pour nous comme unité et pluralité - comme une diversité de configurations qui sont, en dernière instance, unifiées par l'activité signifiante . (Ernst CASSIRER La philosophie des formes symboliques, Tome I, Intro. Chap. IV Page 39). Cela nous reconduit vers le sens (A) des catégories, alors que Cassirer souligne que l'homme médiéval n'a reconnu ni son efficacité ni son effectivité élémentaire de la logique. L'Individu et cosmos assimile la logique et la transcendance, alors que l'une de ces sphères opposées refuse l'existence de l'autre. L'abîme entre leurs refus fait apparaître une liaison divine. L'ordre hiérarchique de l'Être laisse l'espace intermédiaire entre deux mondes opposés. Ainsi, le néoplatonisme révèle étape par étape l'Être Divin à ce monde mais aussi la matérialisation aux idéaux. Le mythe (Dieu) est opposé à la langue (explication). Afin de parvenir successivement la perfection, Cassirer transforme l'espace intermédiaire entre deux mondes en la réalité inconnue et dangereuse. 900 années plus tard, la Renaissance commence à introduire la logique tuée par Dénis l'Aréopagite dans la même réalité reconnue. Seule la Renaissance a fait coïncider les mêmes catégories à travers la forme de l'intuition.

- Notre étude de la problématique des objets (B) présuppose l'origine de la scolastique sur la frontière entre l'Antiquité et le Moyen et son évolution médiévale, selon l'Individu et cosmos. La scolastique a assimilé l'héritage de Dénis l’Aréopagite philosophe byzantin du VIe siècle et a réalisé son but. Les philosophes du Moyen Âge classique, comme Jean Scot Erigène, Albert le Grand et Thomas d'Aquin, ont réinterprété la hiérarchie céleste et ecclésiastique de Dionysos Aréopagite. Avant la Renaissance, leur scolastique était idéalisée et rejetait le développement de la pensée philosophique. Les idées de Nicolas de Cues n'ont pas traversé la limite médiévale des enseignements traditionnels. En outre, elles leur ont donné une nouvelle forme décrite par avance.

Notre étude de la problématique des sujets (C) illustre Nicolas de Cues qui donne l'autre direction à la hiérarchie céleste et ecclésiastique de Dénis l'Aréopagite. Dénis l'Aréopagite développe la tautologie jusqu'à sa propre vision renouvelée de l'Univers. Il réinterprète les concepts de Maitre Eckhart et de Pseudo-Denys Aréopagite. Nicolas de Cues conçoit le rapport entre leurs enseignements de manière très distincte et différente en s'appuyant sur la coïncidence des concepts opposés. Cette dernière illustre l'utilisation de la hiérarchie d'Aréopagite dans nos quatre catégories philosophiques.

CAB) La circularité des problématiques reliées présente le sujet-individu identifié à Nicolas de Cues qui revient aux catégories et crée ses nouveaux objets à travers la coïncidence de nos catégories opposées (CAB). Ainsi, le cardinal prolonge le chemin classique des philosophes médiévaux comme Jean Scot Erigène, Albert le Grand et Thomas d'Aquin. En outre, son enseignement est absolument opposé à la tâche médiévale de défaire les essences antiques de nos quatre catégories. L'homme médiéval formule sa conception de Dieu sur les concepts chrétiens, juifs et antiques. Dénis l’Aréopagite écrit ses traités Des noms divins et De la hiérarchie céleste et ecclésiastique et les transforme en sources d’enseignements médiévaux, sur lesquels s'appuient les trois philosophes mentionnés plus haut. Dénis l'Aréopagite sépare, par ses traités, la croyance et la science (logique), et nous pouvons dire que Pseudo-Dénis détruit le rapport entre le sauvetage de l'âme et l'esprit spéculatif de l'hellénisme. Ce philosophe byzantin confond aussi les relations entre les catégories et leurs instruments. Au Moyen Âge, l'esprit s'incarne dans la réalité sans efficacité et la langue de la Byzance s'est réorganisée à travers la nouvelle puissance de la poésie rimée. Pendant l'Antiquité, cette dernière n'existait pas. Pseudo-Dénis l'Aréopagite proclame le processus successif d'unir l'homme à Dieu et de détruire l'illustration de l'intelligence.

(Hèris o pedôs paghà)
(Hèris o patrôs morfà)
(Hèris o pedôs kripis)
(Hèris o patrôs sifrighis)
(Hèris o pedôs kartos)
(Hèris o patrôs kallos)

Au VIe siècle, de nombreuses rimes linguistiques étaient, par leur puissance, les empreintes des poètes du Proche-Orient, car leur état de l'âme a déterminé la nouvelle croyance (Dieu). L'objet se transformait en sujet et produisait son opposition. En outre, aucun objet ne sera jamais sujet. En Byzance, la connaissance asiatique a déplacé la logique hellénique et l'esprit de l'humiliation a établi les dogmes de la réalité obscure:

Ktibat bgalyatà
shihat bkas yatà
mirat bkariatà
tmi hat bset latà

Christ qui nous nourrit
tué en vendredi,
donne le paradis,
ressuscite et dit.

(Vardessèn, poète juif baptisé en Syrie au IVe ou au Ve siècle après J. Cr.). La critique classique a persuadé les poètes de croire que la rime et les vers rythmiques ne soient qu’un trait négatif comme dans la poésie de Virgile.

Áspice \\cónve\\xó nu\\tántem \\póndere \\múndum,
Térras\\qué trac\\túsque ma\\rís cae\\lúmque pro\\fúndum;
Áspice,\\ véntu\\ró lae\\tántur ut \\ómnia \\sáeclo.
Ó mihi \\túm lon\\gáe mane\\át pars \\última \\vítae,
Spíritus\\ ét quan\\túm sat e\\rít tua \\dícere \\ fácta.

Regardes moi // comme je // meus les // ponts de tel // monde
Les terres // et les // ondes des mers // que soit // le ciel pro// fonde
Regardes, cha //cun ren//contre heu//reux le nou//vaux siècle.
Ou laisse moi // que la // vie me con//duise comme // cette ère dernière
Par ta puis//sance // et par com//bien mon esp//rit laisse pré//dire.

À partir du premier siècle av. J.-C. jusqu'au IXe siècle, la rime était crée en rapport avec les particularités philosophiques de Cassirer. Les traits de sa philosophie présentaient uniquement le rôle implicite dans ses traités. Les particularités de Cassirer se produisaient causalement et ne déterminaient que l'insuffisance de sa professionnalité. Son individualisme devait se diffuser dans la matière stipulée, car l’individu ne devait pas avoir son caractère. De même, la première rime n’a trouvé ni ordre fixe ni soutenance dans la poésie byzantine. Pendant la Renaissance, la réalité créative a démontré que l'absence de la rime et les vers syllabiques ont perdu leur validité. La couleur blanche est devenue noire. La rime et le rythme se sont transformés en priorités poétiques. Au contraire, au XVe siècle, leur absence ne se considère que par l'insuffisance. De même, les particularités de Cassirer illustrent maintenant son génie. Notre thèse compare ce dernier avec la rime sur la frontière entre l'Antiquité et le Moyen Âge. Cassirer stipule particulièrement la constitution des dogmes du Moyen Âge et leur évolution historique. L’innovation des catégories philosophique et leur reconnaissance, par Cassirer, devient la cause de notre thèse. Elle nous reconduit des catégories philosophiques aux objets. En 1938, son livre Jean Pic de Mirandole à la recherche de l'histoire des idées de la Renaissance reconnaitra que l'Individu et cosmos était soumis au crédo de Cassirer et idéalisait la résistance contre l'expérience médiévale. Cassirer croit que la nouvelle conception ne refuse jamais l'opposition mentionnée entre l'âme et l'Univers, car Nicolas de Cues les unit simultanément par leur coïncidence.

L’histoire dévoile que l'époque médiévale ne reconnaissait aucune approbation concrète. Notre thèse développe la supposition que Cassirer a caché la particularité de sa philosophie dans sa neutralité professionnelle. Il a prévu que ses chercheurs futurs compareraient les exigeants de la même neutralité avec les exigences dogmatiques du Moyen Âge. Notre travail affirme que ce problème de Cassirer concrétise l’héritage abstrait. Nous illustrons les défendeurs de la même richesse médiévale. La motivation unit tous ses livres consacrés à la Renaissance. Notre thèse explique exactement le passage successif du Moyen Âge à la Renaissance. L’âme, l'esprit, la puissance et la connaissance de la nature sont présentées comme les instruments des catégories philosophiques. Ces instruments coïncident la conception traditionnelle d’Aristote avec les chrétiens. Les connaissances débutent par enrichir la nouvelle expression linguistique et par donner leurs propres règles étrangères aux conceptions médiévales. Les problématisations gnoséologiques ne conduisent qu'au Kantisme à travers Leibnitz. Elles produisent la systématisation de la trinité par toutes les lois morales (pour l'âme), spirituelles (pour l'esprit), psychologiques (pour la puissance) et physiques (pour la connaissance). Ces instruments de nos cathégories obtiennent l’unité du Macrocosme et du Microcosme. Tous deux deviennent la motivation essentielle de la nouvelle conception. Cette dernière dévoile, pour quelle raison, se produit le changement intérieur des enseignements philosophiques. Ses concrétisations s'approprient l'art, la religion et la science. Elles font voir leurs réflexions partout. Leurs particularités deviennent la tâche de notre thèse. Les traités «Docte Ignorance» et «De la pensé» de Nicolas de Cues, «Causes des effets miraculeux» de Pomponazzi et les «Fureurs héroïques» de Giordano Bruno, à partir de l’époque traditionnelle, définissent l'intérêt de Cassirer pour la théorie de la Relativité d'Einstein. Le chapitre «Liberté et nécessité dans la philosophie de Renaissance» de Cassirer fait comprendre la nouvelle image de Prométhée opposé à l’image médiévale de Prométhée-Adam de Tertullien, Lactance et saint Augustin. Cette partie de notre motivation est consacrée à la confrontation des manières différentes dans l’analyse. Elles séparent le Moyen Âge, la Renaissance, le début du XX et le XXI siècle. Les catégories philosophiques de Cassirer déterminent ses suppositions que tout change et peut être le XXI siècle est plus proche du «Moyen Âge» abstrait et chaotique que de la Renaissance en ayant notre compréhension des relations entre l’individu et le cosme.

4) Méthodologie

A) Deux aspects

Notre recherche a les analises de cinq formes distinctes (de l’exploration (a), de la généralisation (b), de l’individualisation (c), de l’appréciation (d) et de la contemplation (e)). De plus, il existe deux aspects des analyses des œuvres philosophiques. Le premier processus de notre recherche est général. Il recherche les traits communs des pensées. Il examine les sphères communes de la propre tendance. Le premier pas embrasse les conceptions historiques (1), les idées générales des œuvres (2), les problématiques communes (cathégories, objets, sujets et leurs circularités) entre les philosophes différents (3), les thématiques (4), les idéaux esthétiques (le regard sur le monde et le recherche d’idéal dans le monde). Le premier processus analyse le credo philosophique (5), les intentions esthétiques, l’appartenance à quelque tendance des philosophes (6). Le deuxième aspect de l’analyse est subjectif. Il expose les traits spécifiques de chaque philosophe. Il doit fixer l’individu et le présenter à travers les problématiques. Ces dernières dévoilent que la philosophie de Nicolas de Cues est la racine gnoséologique de Cassirer.

B) Herméneutique

Il y a un concept non évident (de toutes les formes, des types et des aspects). Il accompagne toujours les méthodes générales et subjectives. Ce concept ouvre une nouvelle manière de l’examen. Les catégories de Cassirer expliquent les influences médiévales sur la révolution philosophique de Nicolas de Cues. Notre travail fait coïncider les collaborations singulières des autres chercheurs avec son interprétation herméneutique de la Renaissance. Les tendances évidentes établissent les proportions entre deux natures de Cassirer. La première est extérieure. La deuxième se cache à l'intérieur de ses particularités implicites. De même, notre thèse doit accepter la même motivation, pour la quelle, Cassirer attire l'attention sur l’absence du centre de l'Univers à la fin du Moyen Âge. Pour quelle raison ses catégories philosophiques reflètent l’absence du minimum et du maximum dans l’espace cosmique? Cette coïncidence des concepts opposés unit Cassirer et Nicolas de Cues. Les oppositions absolues dévoilent un seul chemin vers la supposition implicite que le Globe Terrestre se meut. Elles exposent l’existence potentielle des droites infinies des côtes des triangles infinis.

La nouvelle conception de la Renaissance dans l’ouvrage "Individu et cosmos" d'Ernst Cassirer"

La motivation de notre thèse est le rapport entre les catégories philosophiques d'Ernst Cassirer et son traité "Individu et cosmos". Ce dernier examine la formation de l'individu sur la frontière qui sépare le Moyen Âge de la Renaissance en Europe. Cette frontière tente d'éviter toutes les autres catégories sauf la langue (expression), le mythe (Dieu et croyance), la réalité créative et la logique. L'«Individu et cosmos» d'Ernst Cassirer étudie les racines de ces quatre conceptions. Il détermine l'instrument de chaque catégorie. Cassirer voit dans l'âme l'instrument de Dieu. De même que l'esprit sert à la réalité créative, la connaissance à la logique et la puissance à la langue. Le XXI siècle a besoin de la nouvelle reconnaissace des principales caractéristiques: projets, objets et méthodes d'Ernst Cassirer, car ces derniers devient obligatoirement hermétiques. Leur particularité enferméee les systématise et expose la coïncidence historique des oppositions absolues sans proportion. Le dernier idéaliste expose que les autres façons des recherches ne conduisent pas à un résultat créatif. La matière de l'"Individu et cosmos" justifie cette analyse enfermé de Cassirer. De même, ses autres travaux confirment que son hermétisme refuse les autres catégories et leurs rapports aux autres instruments. Notre recherche examine le début de la connaissance précise. Elle dévoile que l’instrument de la réalité créative conduit à Kant et, à travers la nouvelle langue, le nouveau mythe et la nouvelle logique, conçoit le néo-kantisme de Cassirer.

Les concepts de «Liberté et nécessité dans la philosophie de Renaissance» mènent Cassirer au XX et au XXI siècle. L'actualité est bien davantage abstraite et chaotique qu’à la Renaissance comme le Moyen Âge. Les qualités de notre compréhension ne sont que les relations entre l’individu et le cosme fermé.

La motivation de notre thèse est fondée sur la nouvelle compréhension. Ernst Cassirer présente ses discours scientifiques et religieux sur la base des connaissances, à partir des dogmes médiévaux de Nicolas de Cues jusqu'au XXI siècle. Aujourd'hui, notre réalité créative laisse accepter l'évolution de la pensée humaine plus profondément qu'en 1927, car plusieurs traits particulières du XX siècle étaient inconnus avant la deuxième guerre mondiale et après. Il y a quatre perceptions historiques des problématiques de l' «Individu et cosmos» 1) au Moyen Âge, 2) à la Renaissance, 3) au début du XX siècle et 4) au XXI siècle. Le XXI siècle est opposé aux époques précédentes. Il renforce les quatre catégories de Cassirer à travers leur coïncidence actuelle. Notre recherche s'appuie sur ces quatre visions philosophiques de Renaissance. Notre thèse démontre que la nouvelle forme unit les catégories de Cassirer. Cette forme coïncide les points du vue opposés. Ces derniers reflètent, à travers la particularité de Cassirer, les coïncidences des opposés, des mondes sensible et intelligible, de la puissance humaine et de Fortune, la Dignité et l’excellence de l’homme. La même vie devient leur miroir. Notre travail expose la théorie de Cassirer, selon laquelle, nous ne sommes que les animaux symboliques, car l'homme médiéval est le théâtre des batailles au XXI siècle. En outre, au XV siècle, l’homme devient l’individu. Sa vie débute par s'appuyer sur les catégories et les instruments de la future philosophie de Cassirer. Notre travail détermine, par cette dernière, la dépendance et l’indépendance humaine de la nature. Le but de notre thèse est la démonstration que la nouvelle conception de la Renaissance coïncide les quatre catégories philosophique de Cassirer à travers leurs instruments, et que ces derniers soumettent l'homme et ses catégories philosophique, car la puissance de la langue s'approprie l'ordre objectif, et l'esprit dirige la réalité sans création.

Projet bref par les motivations suivantes

Motivation et but. L'expérience historique. – Sources de nos problématiques. Démonstrations objectives. La recherche de l'actuation – méthode, particularités et limites. L'essence de notre travail. Biographie brève du dernier idéaliste allemand.

Méthodologie d'Ernst Cassirer son début et son devoir de souligner toujours un chercheur neutre. Racines de la philosophie particulière de Cassirer.

CORPUS de notre thèse.

La scolastique et la nouvelle expression

A) La coïncidence des termes opposés

1) Nicolas de Cues fondateur allemand de la nouvelle philosophie italienne

2) La nouvelle expression unit les gentils et les chrétiens

3) Les temps séparent l'Académie et le passé

4) L'expression des sentiments et les rapports avec le Moyen Âge

5) L'opposition concrète entre l'homme médiéval et l'homme de la Renaissance

6) La naissance du microcosme à l'intérieur du nouvel homme

A) La coïncidence des oppositions physiques et spirituelles

7) La nouvelle conception de la Renaissance

B) Les racines historiques de la coïncidence des théories opposées

8) L'impossibilité de déterminer la Perfection Infinie

9) La grande motivation et la gradation sans raison des sphères en s’approchant de Dieu

10) La nouvelle conception opposée à la scolastique

11) La coïncidence médiévale des concepts opposés de Platon et d'Aristote

12) La cosmologie médiévale de l'Univers fini

13) Les concepts opposés contre leur coïncidence

C) La première tentation de connaître Dieu

14) La limite de la dimension et son absence

15) Le fini et l'infini n'ont aucune proportion

16) La nouvelle coïncidence des concepts opposés de Platon et d'Aristote

17) La destruction de la logique traditionnelle

18) Dieu est en dehors des déterminations humaines

19) La puissance mystique de la vision intellectuelle

20) L'illustration de l'intelligence et son union avec Dieu

D) La relativité de la nouvelle conception

21) La stabilité contre les changements

22) L'opposition entre la raison éternelle et l'illusion proportionnelle

23) Deux types de frontières et leur stabilité

24) Disparation théoriques des frontières mentionnées

25) Les opposés s'absolutisent afin d'avoir la coïncidence réelle

26) La première conjecture de l'infini relatif

27) La même conception au XXIe siècle

28) Les rapport entre les sphères empiriques

et l'Être Absolu

Principes de Nicolas de Cues dans la pratique

A) Dieu et ce monde

29) Deux cosmes et les erreurs d'Aristote

30) L'égalités de tous les objets auprès

de l'Infinité Divine

B) Le premier pas vers le cosmopolitisme universel

31) Les appartenances divines et mondaines

32) Tentation d’unir toutes les croyances

33) La conception de Dieu à l'intérieur des limites humaines

34) Nicolas de Cues et la formation du concept d’ «individu»

35) L'homme médiéval et celui-ci de la Renaissance

36) La vision de la nouvelle réalité

37) La puissance limitée de ce monde

C) La théorie de la relativité de Nicolas de Cues et la nature

38) Le développement de la nouvelle conception philosophique

D) La nature et la nouvelle puissance de l'esprit

39) La nouvelle compréhension des ordres

40) La source de l'esprit humain

E) L'homme du XXIe siècle opposé à l'individu de la Renaissance

41) Les traits médiévaux de l'homme contemporain

42) La masse de gent indifférente opposée à l'individu

43) Le changement des valeurs

F) La source de l'évaluation

44) Deux états de l'Être

45) L'erreur de la Renaissance et le retour au passé

46) La coïncidence entre le Moyen Âge, la Renaissance et le XXème siècle de Cassier

2ème CHAPITRE: Nicolas de Cues et l'Italie

En dehors des limites temporaires de Nicolas de Cues

A) Les influences directes et indirectes

47) Les 150 ans après Nicolas de Cues

48) Le concept de "devenir reconnu" et l’appartenance à la nationalité italienne

49) La liste des noms ne devant être reconnus

50) L'évidence des empreintes

B) La guerre entre des commentateurs et

51) Sous le masque de l'héritage classique d'humanité

52) La relation réel des imitateurs avec la classique

53) La nouvelle sagesse

54) Les partisans indirects de la nouvelle conception

55) Les racines historiques de l'union entre

la nature et l'esprit humain

56) La victoire de la science précise

57) Le "livre divin" de la nature et les dogmes bibliques

58) L'évolution de la conscience des opposés

Influence sur le retour à la tradition

A) Sous la peur de l’innovation

59) L'absence des concourants opposés

60) La nouvelle vision opposés

61) La balance instable entre la science et les dogmes religieux

62) La victoire de la croyance

B) L'Académie platonique de Florence

63) La confiance mystique opposée à nature

64) Pic de la Mirandole "phénix de l'esprit"

65) Les désirs, les traits et les possibilités de l'âme

66) Ficin et la beauté de l'âme

67) L'absence de l'hiérarchie à l'intérieur de l'espace intermédiaire

68) L'image intelligible à l'intérieur de l'homme

3ème CHAPITRE: Liberté et nécessité dans la philosophie de la Renaissance

A) L'essence de la fortune

69) La dépendance humaine

70) Le désir de l'indépendance et son image

71) L'opposition absolue de l'indépendance et du bonheur et son fruit

B) La coïncidence des opposés, de la philosophie et des beaux-arts

72) La particularité de la Renaissance des inventeurs originaux

73) Les idées plus claires que la vies, le destin et la force de la volonté

C) Le retour aux racines médiévales

74) Les liaisons entre la liberté et la nécessité

75) L'imitation des façons antiques

76) Des nouvelles formules plastiques de compromis

D) L'approbation conditionnelle du concept de "moi" et son absence

77) La première tentation de contredire le destin

78) Les modifications du rôle humain

E) Le danger de l'indépendance à moitié

79) La première tentation ne s'abaisse jamais

80) L'expérience traditionnelle, le courage des innovations et leur coïncidence

81) Le danger de l'idéalisation par sa vérité partielle

82) La particularité de la Renaissance

83) Lorsque le culte substitue remplace Dieu

F) Nécessité de l'empreinte

84) Dépendance du Moyen Âge au XVe siècle

85) Introduction des nouveaux instruments

86) Nécessité de l'efficacité créative

87) Notre appartenance et notre aliénation

88) Relativité de notre aliénation et but des empreintes

89) Guerre infinie entre le bien et le mal

90) Rapports au Moyen Âge

91) Nouvelles essences des titres antiques

92) Nécessité du devoir humain

93) Nouvel homme et nouvelle espace

94) Animal ou Dieu Humain

95) Possibilités de l'homme

G) Pas à la Renaissance hors de l'Italie

96) Catégories philosophique de Charles Bovelles






















































































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